Les prix ont certes baissé pour l’ancien comme pour le neuf (parfois jusqu’à 30%), cependant, ils restent surévalués et loin de leurs valeurs réelles. Le marché immobilier algérien semble échapper à toute logique économique. Presque tous les ingrédients du crash immobilier sont là, à commencer par une offre disponible élevée, une demande en recul, un blocage des transactions, des prix en berne…
Malheureusement pour les acheteurs, ce n’est pas assez pour provoquer un crash à l’espagnole. Au mieux, la bulle immobilière va légèrement se dégonfler en attendant des jours meilleurs. Comment le marché immobilier a évité l’effondrement des prix? Qui fixe les prix des biens immobiliers? Comment les propriétaires peuvent-ils résister à une conjoncture économique aussi défavorable? Le président de la Fédération nationale des agences immobilière (FNAI), Aouidat Abdelhakim, répond à toutes ces questions et apporte des éclairages forts utiles pour comprendre le marché immobilier en Algérie.
Source : algerie360